Nous vous révélons les "SECRETS DE FABRICATION" que vous ignorez, que l’on vous cache...
LE VRAI PRIX DU LAIT:
Quelles souffrances se cachent derrière votre litre de lait ?
Les publicités vendent les produits laitiers avec des paysages idylliques, des vaches dans des champs paisibles , leurs petits à leur côté.
Tout cela n’est bien entendu que mensonger afin de manipuler votre cerveau et vous donner bonne conscience.
La réalité est tout autre.
Pour produire du lait La vache doit donner naissance à un veau. Ce petit est retiré à sa mère immédiatement pour être placé dans un petit box sans foin que des planches, tremblant de peur et de froid en cherchant sa maman...
Ces petits vont être gavés afin de prendre du poids le plus vite possible et partir à l’abattoir pour finir en blanquette de veau.
La séparation entre la vache et son veau est terrible pour l’un comme pour l’autre. Les vaches crient après leur petit. Certaines se sont même enfuies pour retrouver leur bébé.
Les hurlements sont déchirants.
Et cela recommence jusqu’à ce que la vache en soit au stade de l’épuisement sans compter les mammites, le pue dans les pis...
Décidément aucune considération pour ces pauvres êtres.
Après avoir été utilisées durant leur courte vie, elles sont envoyées à l’abattoir... certainement le steak haché que vous venez de manger....
Le rendement laitier par vache, c'est à dire la quantité de lait qu'une vache produit chaque année, n'a cessé de croître ces dernières années. Les vaches laitières à haut rendement donnent entre 25 et 30 litres par jour...
D.D.P.A demande :
L'élevage des veaux sous la mère - la séparation d'un veau et de sa mère devrait être interdite ou, au minimum, remplacée par des vaches allaitantes de substitution
Interdiction totale d'attacher les animaux et réduction du nombre d'animaux dans les étables
Une production laitière moins importante et des intervalles de vêlage plus longs, ceci ayant un impact très positif sur la santé et le bien-être des animaux.
Ces veaux ne connaitront jamais la tendresse, les caresses, bien au contraire...
Ils sont traînés car ils ne veulent pas s’y rendre avec un regard terrifié...et se font massacrés
Les mamans et leurs petits vivent une grande détresse et tristesse suite à la séparation
COMMENT SONT ABATTUS LES ANIMAUX DANS LES ABATTOIRS
Le fameux "étourdissement "
Beaucoup d’entres vous pensent que les animaux sont abattus sans s’en rendre compte.
Ce qui n’est pas le cas.
Beaucoup d’entre eux sont DÉPECÉS VIVANTS soit parce que l’étourdissement n’a pas fonctionné soit parce que les abattoirs ne respectent pas les conditions d’abattages.
Donc bon nombre des animaux se retrouvent suspendus par une patte se débattant pour échapper à leur bourreau mais bien entendu, en vain...
S’en suit alors des cris d’atrocités, des souffrances horribles. Non seulement ils voient et entendent leur congénères mais savent que cela va être leur tour.
Dans certains abattoirs il existe une forme de maltraitance barbare supplémentaire. Les employés se donnent plaisir à jeter les brebis ou les moutons ou autres, à les frapper, les faire hurler de souffrance avant de les achever sauvagement.
À présent, vous savez de quoi est composée votre " viande " qui se trouve dans votre assiette.
CHAQUE JOUR, en France 3,8 MILLIONS d’animaux sont abattus rien que pour la CONSOMMATION HUMAINE.
Sachant qu’ il faudra encore beaucoup de temps pour que les mentalités changent, évoluent, la consommation animale sera encore hélas, la plus grande cause de morts atroces d’animaux.
Alors, nous devons oeuvrer afin que les conditions d’abattage soient des plus digne et sans aucune souffrance.
De ce fait la D.D.P.A demande :
plus de contrôles dans les abattoirs
Que les abattoirs soient sous vidéos surveillance et que chaque maltraitance ou/et abattages non conformes aux textes de loi soient sévèrement sanctionnés.
L’élevage intensif
La D.D.P.A entend proposer une relecture du droit animalier français pour le soulager d'un paradoxe majeur. En effet, quoi que reconnaissant l'obligation pour les humains propriétaires d'animaux de les placer dans des conditions compatibles avec leurs exigences biologiques, le droit français n'a pas pour autant reconnu réciproquement le droit de ces mêmes animaux à disposer desdites conditions de vie. Il s’agira de faire reconnaître que d'autres entités vivantes ont elles aussi des droits intrinsèques, propres à leurs besoins.
L’élevage intensif ne respecte en aucune façon les règles de bases du bien-être animal. Il est en effet contre-nature d’enfermer des animaux dans des cages ou des espaces confinés, sur des grillages ou du béton, sans accès à la lumière du soleil ou à un seul brin d’herbe.
Les animaux ne peuvent pas exprimer les comportements naturels inhérents à leur espèce et souffrent souvent de pathologies liées à ces conditions de vie extrêmes (boiteries, infections…). En prévention, les antibiotiques sont utilisés à outrance sur ces animaux et occasionnent de graves problèmes de santé publique.
Du fait de l’ennui et du stress, les animaux se blessent souvent entre eux. C’est pourquoi il est courant dans ces élevages de pratiquer l’écornage, la coupe de queue, le limage des dents, l’épointage des becs ; toutes ces méthodes sont généralement réalisées à vif sans aucune insensibilisation, ce qui engendre de réelles douleurs pour les animaux.
L’élevage intensif est également source de nombreuses mortalités avant même l’abattage, en particulier parmi les jeunes animaux.
L’élevage intensif est enfin très néfaste pour la planète : il constitue la plus grosse source d’émission des gaz à effets de serre, devant le secteur des transports. Il engendre de la déforestation, pollue l’eau et les nappes phréatiques, et nécessite cinq fois plus d’eau que l’élevage traditionnel en pâture.